Scandale aérien en Haïti : Sunrise Airways et l’État écrasent le peuple avec des prix exorbitants !

Dans un pays où les gangs sèment la terreur et où les routes sont devenues des pièges mortels, les Haïtiens cherchent désespérément à se déplacer en sécurité. Mais au lieu de secours, c’est un véritable coup de massue qu’ils reçoivent de la part de Sunrise Airways, en complicité avec les autorités ! Les prix des vols domestiques ont explosé, passant de 120-140 $ à une somme astronomique : 215 $ pour un trajet Cap−Haïtien/Port−au−Prince et 240 Cap-Haïtien/Les Cayes. Une augmentation brutale qui étrangle une population déjà à bout de souffle.
Ce scandale prend une tournure encore plus sombre avec les révélations de l’économiste Enomy Germain (@EnomyGer). Selon lui, un protocole d’accord signé entre l’État et Sunrise Airways pour reprendre les vols internes dès ce 12 juin 2025 cache une vérité choquante : pas moins de 11 millions de dollars auraient été mobilisés pour « encourager » la compagnie à reprendre ses services. Mais à quel prix pour les Haïtiens ? Cette entreprise, en position de quasi-monopole, semble profiter sans vergogne de l’insécurité galopante pour gonfler ses tarifs et remplir ses caisses sur le dos d’une population en détresse.
Pendant que les gangs contrôlent les routes et que les citoyens n’ont d’autre choix que l’avion pour se déplacer, Sunrise Airways transforme une nécessité vitale en un luxe inaccessible. Cette alliance entre la compagnie et les autorités soulève une vague d’indignation : comment peut-on laisser une entreprise tirer profit de la misère d’un peuple en crise ? Les Haïtiens, pris en otage par la violence et maintenant par des prix prohibitifs, crient leur colère.
Ce drame pose une question brûlante : jusqu’où ira cette exploitation éhontée ? Sunrise Airways et l’État assumeront-ils leurs responsabilités face à un peuple qui ne demande qu’à survivre ? Ou continueront-ils à presser le citron jusqu’à la dernière goutte ? Une chose est sûre : les Haïtiens méritent mieux que d’être abandonnés à la merci des profiteurs. Et vous, que pensez-vous de cette situation révoltante ? Est-il temps de dire stop à ce racket aérien ?