Bombe Judiciaire : Obama et Clinton Visés par une Enquête pour Trahison, Pam Bondi Passe à l’Action !

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1. Le geste explosif de Trump : accusation publique de trahison

Le 22 juillet 2025, lors d’une allocution depuis le Bureau ovale, Donald Trump a accusé l’ancien président Barack Obama de trahison. Il l’a supprimé à l’instigation d’un complot orchestré pour voler l’élection de 2016. Selon Trump, Obama et plusieurs proches — dont Hillary Clinton, Joe Biden, James Comey, James Clapper — seraient les auteurs d’un plan visant à influencer l’élection américaine.

Il a défendu ces accusations devant la presse, y compris le président philippin Ferdinand Marcos, affirmant que ces révélations faisaient partie d’un “autre chasseur de sorcières” pour détourner l’attention du public de l’affaire Epstein.

2. Tulsi Gabbard et la création d’une « strike force » du DOJ

La directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, a publié plusieurs documents déclassifiés suggérant que l’administration Obama aurait manipulé les services de renseignement pour attribuer une influence russe favorable à Trump durant la campagne. Elle affirme que cela constitue un acte de trahison et a transmis ces éléments à la procureure générale Pam Bondi.

Réagissant rapidement, Bondi a mis sur pied une véritable « strike force » au sein du ministère de la Justice pour évaluer les éléments fournis. Peu après, elle a ordonné l’ouverture d’une enquête devant un grand jury fédéral, une procédure judiciaire classique pour déterminer la suite à donner à une affaire criminelle.

3. Poursuites visées : ancien personnel de l’administration Obama dans la ligne de mire

L’enquête pourrait viser plusieurs hauts responsables : les noms mentionnés incluent James Clapper (ex-DNI), John Brennan (ex-CIA), James Comey (ex-FBI), ainsi que d’autres anciens conseillers comme Susan Rice, John Kerry ou Loretta Lynch.

Cette offensive transforme radicalement l’atmosphère politique aux États-Unis, avec la justice fédérale investie sur les procès en capitaux entre anciens présidents et leurs rivaux.

4. Un substrat politique historique : la guerre contre « Russiagate »

Cette investigation s’inscrit dans la continuité d’un climat ultra-partisan autour de l’enquête « Crossfire Hurricane », l’investigation fédérale sur l’ingérence russe en 2016. Celle-ci avait été initiée suite à des informations concernant Papadopoulos. Un rapport du DOJ publié en 2019 avait confirmé la rigueur des procédures d’origine.

Le controversé renouvellement de cette enquête illustre le renouveau d’une lutte politique totale, au-delà du décor institutionnel.

5. Blocage juridique : immunité présidentielle en jeu

Un obstacle majeur se dresse face à toute poursuite contre un ex-président : une décision de la Cour suprême de 2024 a renforcé l’immunité judiciaire du président pour les actes commis durant l’exercice de ses fonctions — ce qui place Obama dans une zone quasi intouchable.

Cette protection juridique profonde pourrait invalider toute tentative de poursuite, selon les défenseurs de l’ancien président.

6. Réactions et conséquences politiques

Réaction de l’entourage d’Obama :

Un porte-parole a qualifié ces accusations d’« étranges » et d’ »insultantes », dénonçant une diversion politique efficace.

Politisation du système judiciaire :

Ce mouvement soulève des questionnements sur l’indépendance du DOJ, déjà entachée par le contexte outragé autour de l’affaire Epstein. La nomination d’une « strike force » politique inquiète les défenseurs des droits.

7. Analyse approfondie — entre rétribution et reconstitution historique

EnjeuInterprétation
Rééquilibrage politiquePour certains, c’est une revanche contre une administration jugée hostile.
Droit contre vengeancePour d’autres, ce chemin juridique sacrifierait les principes fondamentaux d’équité.
Vérité ou manipulationL’enquête expose une fracture sociale majeure entre vérité historique et narratif partisan.
Normalisation du judiciaireSi cette enquête aboutit, elle pourrait redéfinir l’usage du pouvoir judiciaire en politique.

8. Conséquences possibles à venir

  1. Nomination d’un conseiller spécial indépendant pour garantir la transparence de l’enquête.
  2. Audience publique ou tribunal médiatique si le grand jury émet des inculpations.
  3. Une exploration légale de la notion d’immunité présidentielle à plus long terme.
  4. Radicaux renversement du récit national sur l’enquête russe de 2016.

Conclusion — un moment pivot dans l’histoire américaine

La décision d’engager une enquête pour possible trahison contre un ancien président marque un tournant historique : un bras de fer entre justice, mémoire nationale et politique partagée.

Ce qui était perçu comme une fiction véridique — un ex-procès contre un ex-président — est aujourd’hui possible. Le tribunal qui s’ouvre n’est pas seulement celui de l’accusation ou de la défense — c’est celui du destin démocratique états-unien, sous surveillance mondiale.

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