Coup de Tonnerre aux États-Unis : Le DHS Révoque le Statut de Plus de 935 000 Migrants Entrés via CBP One

C’est un coup dur, un de ceux qui te laissent sans voix. Le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (le DHS pour les intimes) vient de tirer un trait sur le programme de parole pour tous ceux qui ont franchi la frontière en passant par l’application CBP One. Ils ont envoyé une lettre à ces gens, un courrier sec et direct : leur autorisation de rester sur le sol américain, c’est terminé. À partir du jour où ils reçoivent ce papier, ils ont sept jours pour quitter le pays. Sept jours, pas plus. Sauf, bien sûr, s’ils ont déjà un autre statut légal en poche – asile, résidence, TPS – qui leur permet de rester.
Une deadline qui ne pardonne pas
Imaginez un peu : sept jours pour tout lâcher, faire vos valises et dire adieu à ce que vous aviez commencé à construire. Si vous ne partez pas dans ce délai, les ennuis s’accumulent vite. Le DHS ne plaisante pas : ils peuvent vous arrêter, vous expulser en accéléré, annuler vos permis de travail et même vous coller des amendes ou des poursuites judiciaires. C’est un ultimatum qui met une pression énorme sur des gens déjà dans une situation fragile.
Les consignes sont claires
Dans leur message, ils ne tournent pas autour du pot. Si vous n’avez pas d’autre statut pour vous raccrocher, vous devez quitter les États-Unis dans la semaine. Ils vous demandent de passer par l’appli CBP One – celle-là même qui vous a fait entrer – pour organiser votre départ. Et puis, il y a un site, i94.cbp.dhs.gov/home, où vous devez signaler que vous partez et dire où vous allez. C’est administratif, froid, presque mécanique, mais c’est comme ça qu’ils ferment la porte.
Derrière les chiffres, des vies bouleversées
Quand on lit dans la presse que cette décision touche plus de 935 000 personnes, ça donne le vertige. Plus de 935 000 hommes, femmes, enfants, venant de partout, qui avaient misé sur une chance de vivre ici. Des familles qui se sont battues pour arriver, des travailleurs qui se levaient chaque matin pour gagner leur pain, et maintenant, on leur dit de tout laisser tomber. Ça fait mal de voir une politique migratoire aussi brutale transformer des espoirs en un simple compte à rebours.