Liancourt sous le joug des gangs : Policières abattues, blindé brûlé, et un silence assourdissant des autorités !

Franchement, c’est à peine croyable ce qui se passe en Haïti ! Le Bas-Artibonite est en train de devenir un vrai champ de bataille, avec des gangs qui prennent le contrôle de ville après ville comme si c’était un jeu. Après Marchand-Dessalines, L’Estère, Petite-Rivière de l’Artibonite et La Chapelle, c’est maintenant Liancourt qui tombe entre leurs mains. Depuis deux jours, les bandits, armés jusqu’aux dents, ont carrément installé leur QG dans la commune. Le bilan ? C’est l’horreur : deux policières tuées, un blindé de la police cramé, et des civils qui paient un prix terrible. Et pendant ce temps, les autorités ? Silence radio, ou pire, on dirait qu’elles laissent faire. On te raconte tout, accroche-toi, c’est glaçant !
Liancourt sous l’emprise des gangs
Depuis deux jours, Liancourt est un cauchemar. Les gangs, avec des armes lourdes, ont débarqué et se sont installés comme chez eux. Ils contrôlent tout, et personne ne semble pouvoir les arrêter. La commune est devenue leur base, et ils n’ont pas fait dans la dentelle : attaques, violence, chaos total. Les habitants sont terrifiés, et pour cause. Quand tu vois des bandits armés prendre ta ville, t’as juste envie de fuir. Mais fuir où ? C’est la question que tout le monde se pose là-bas.
Un bilan qui fait froid dans le dos
Le tableau est sinistre. Deux policières ont été abattues, un blindé de la PNH (Police Nationale d’Haïti) est parti en fumée, et des civils subissent des exactions à n’en plus finir. Combien de morts, de blessés ? Impossible à dire pour l’instant, tellement c’est le bordel. La panique est partout, les gens fuient comme ils peuvent, mais sans savoir où aller. Les récits qui circulent sur les réseaux sociaux sont déchirants : des familles coincées, des maisons pillées, et une peur qui paralyse tout. C’est le genre de truc qui te donne des frissons rien que d’y penser.
Les autorités : complices ou impuissantes ?
Et là, c’est là que ça fait vraiment mal. Les autorités haïtiennes, qui avaient pourtant juré de mettre le paquet contre les gangs, avec des annonces en mode “on va envoyer des drones kamikazes, on va tout péter”, ben… elles font rien. Nada. Silence total. Pire, y’a des rumeurs qui disent qu’elles pourraient même être complices, ou du moins fermer les yeux. Comment expliquer qu’une commune entière tombe comme ça sans qu’un seul renfort arrive ? Les habitants se sentent abandonnés, et franchement, c’est dur de leur donner tort. T’imagines le désespoir ?
Le Bas-Artibonite, un domino qui s’effondre
Le Bas-Artibonite, c’était déjà une région fragile, mais là, c’est carrément la chute libre. Marchand-Dessalines, L’Estère, Petite-Rivière, La Chapelle, et maintenant Liancourt : les gangs enchaînent les prises de contrôle comme dans un mauvais film. Chaque ville qui tombe, c’est un coup de plus au moral des Haïtiens, et une preuve que les bandits ont l’avantage. La question qui brûle toutes les lèvres, c’est : qui sera la prochaine ? Et pourquoi personne n’arrive à stopper cette spirale ?
Et maintenant, on fait quoi ?
Cette histoire, c’est un cri d’alarme. Des gens meurent, des villes tombent, et ceux qui sont censés protéger la population brillent par leur absence. Les habitants de Liancourt, comme ceux des autres communes, appellent à l’aide, mais qui va répondre ? Est-ce que les autorités vont enfin se réveiller ? Est-ce que la communauté internationale va bouger ? Franchement, c’est le flou total, et ça fait peur. Cette situation, c’est plus qu’un fait divers, c’est une tragédie humaine. T’en penses quoi, toi ? Ça te met en rogne autant que moi ? Reste branché, parce que cette crise est loin d’être finie.