Mirebalais : Le choc après l’assassinat de deux religieuses au cœur de leur mission

La ville de Mirebalais a été frappée par une tragédie, où la communauté des Petites Soeurs de Sainte-Thérèse a subi une attaque d’une violence extrême. Le 31 mars, deux sœurs, Evanette Onezaire et Jeanne Voltaire, ont trouvé la mort lors d’une attaque armée à l’École nationale de Mirebalais. Ces femmes engagées, dédiant leur vie à leur profession, ont été impitoyablement tuées par des hommes armés alors qu’elles œuvraient pour le bien-être de leur communauté.
La ville de Mirebalais a été frappée par une tragédie, où la communauté des Petites Soeurs de Sainte-Thérèse a subi une attaque d’une violence extrême. Le 31 mars, deux sœurs, Evanette Onezaire et Jeanne Voltaire, ont trouvé la mort lors d’une attaque armée à l’École nationale de Mirebalais. Ces femmes engagées, dédiant leur vie à leur profession, ont été impitoyablement tuées par des hommes armés alors qu’elles œuvraient pour le bien-être de leur communauté.
Le bâtiment des Petites Soeurs de Sainte-Thérèse, qui a été pris pour cible par les attaquants, porte maintenant les traces de cette barbarie. Aucun signe de vie des autres membres de la communauté n’a été détecté, plongeant l’environnement dans une angoisse oppressante. L’attaque, implacable, n’a pas épargné les autres personnes présentes sur place, qui ont elles aussi été emportées par cet acte de violence.
Ce drame a plongé les résidents, les familles et tous ceux qui étaient liés à ces sœurs dans une profonde affliction. L’émotion est intense, mêlée à une colère sourde face à une insécurité qui ne connaît aucune limite, atteignant même les lieux dédiés à l’éducation et à la spiritualité. Une fois de plus, Mirebalais pleure ses victimes, frappée en plein cœur par une violence qui semble sans fin