Surtourisme à Barcelone : La révolte des habitants face à une ville étouffée par 26 millions de touristes

Barcelone, c’est le chaos total en ce moment ! Ce mardi 17 juin 2025, la ville est en ébullition, et pas pour une fiesta. Les habitants sont dans la rue, en train de crier leur ras-le-bol contre le surtourisme qui est en train de leur voler leur ville. T’imagines, 26 millions de touristes en 2024 pour une ville de 1,6 million d’âmes ? Ça fait 16 touristes par habitant ! Les Barcelonais n’en peuvent plus, et franchement, je les comprends. Leur message est clair : le tourisme de masse est en train de tuer Barcelone.

Les pancartes dans les manifs disent tout : les loyers explosent, trouver un appart est devenu mission impossible, et le coût de la vie grimpe plus vite qu’un coureur du Tour de France. Les habitants pointent du doigt ces hordes de visiteurs qui envahissent les rues, les plages, les Ramblas, transformant leur quotidien en cauchemar. T’as déjà essayé de prendre un café à La Boqueria sans te faire bousculer par un selfie-stick ? C’est l’enfer. Les gens du coin se sentent dépossédés de leur propre ville, poussés dehors par des Airbnb à gogo et des prix qui les asphyxient.

Mais attends, c’est pas juste une question de râler. Le tourisme, c’est 15 % du PIB de Barcelone, un pactole qui fait vivre des dizaines de milliers de familles. Les restos, les hôtels, les guides touristiques, tout ça tourne grâce aux visiteurs. Alors, comment tu fais pour dire “stop” sans flinguer l’économie ? C’est un vrai casse-tête pour les autorités, qui se retrouvent coincées entre la colère des habitants et la manne touristique. Interdire les Airbnb ? Limiter les vols low-cost ? Taxer les touristes ? Chaque idée a son lot de problèmes, et personne n’a encore trouvé la formule magique.

Ce qui me retourne, c’est de voir une ville aussi vibrante que Barcelone, avec sa culture, ses couleurs, sa vie, être étouffée sous le poids de son propre succès. Les habitants ne demandent pas la lune : ils veulent juste pouvoir vivre chez eux sans se sentir comme des étrangers. Mais quand t’as 26 millions de touristes qui déferlent chaque année, c’est plus une ville, c’est un parc d’attractions. Et là, les Barcelonais disent : “Basta !” Ils veulent des solutions, et vite, avant que leur ville ne devienne une coquille vide, bonne qu’à briller sur Instagram.

Et puis, soyons honnêtes, c’est pas juste un problème de Barcelone. Partout, des villes comme Venise, Amsterdam ou Lisbonne commencent à craquer sous la pression touristique. Mais là, à Barcelone, la révolte prend une ampleur dingue. Les manifs sont bruyantes, passionnées, et elles envoient un message au monde entier : le tourisme, c’est bien, mais trop, c’est trop. Est-ce que les autorités vont écouter, ou vont-elles continuer à laisser la ville suffoquer ? Et nous, les voyageurs, on doit se poser la question : est-ce qu’on contribue au problème sans s’en rendre compte ?

Franchement, j’ai le cœur serré en pensant à ça. Barcelone, c’est pas juste une destination, c’est un art de vivre, et le voir menacé comme ça, ça fait mal. Toi, t’en penses quoi ? Les habitants ont raison de se battre, ou faut-il accepter que le tourisme soit le prix à payer pour une ville aussi belle ? Et si t’étais Barcelonais, t’aurais envie de quoi ? Faut qu’on en parle, parce que cette histoire, elle nous concerne tous, d’une manière ou d’une autre.

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